Retour sur le PAD Paris 2018

13 avril 2018 /
7 commentaires

Alors que s’est achevé Dimanche dernier la 22e édition du PAD Paris. Ce salon, présent chaque année au mois d’Avril dans le jardin des Tuileries à Paris en face du musée du Louvre est le cadre idéal pour se faire rencontrer des pièces d’art et de design issus de divers horizons et époques.

Parmi les galeries présentes cette année nous retrouvons entre autres la galerie Maria Wettergren, la galerie BSL, la designer céramique Karen Swami.

Cette année, le Studio PAD Paris est confié à l’architecte-curateur Charles Zana. Le Studio est imaginé comme un salon particulier de collectionneur. Charles Zana présente ses créations parmi lesquelles le canapé signature “Alexandra”, les fauteuils “Cornouaille” et le tapis Cogolin de la collection Variamen.Une grande bibliothèque présente des céramiques d’Ettore Sottsass exposées à Venise lors de la Biennale.

Retour sur le PAD Paris 2018

Les percements en façade font références à Scarpa, la composition graphique bicolore des murs structurent l’espace dans un esprit “classique contemporain”.  Le sol revêtu de parquet en pin brut, contraste avec la sophistication des pièces présentées. L’ambiance colorée est chaleureuse, du velours acajou du grand canapé en tissus Pierre Frey “teddy bear” en pin noirci et noyer de la bibliothèque, se détachant sur des murs vert “sauge” soulignés de noir “suie” .

Petit retour en images dans les allées du PAD…

Retour sur le PAD Paris 2018

Retour sur le PAD Paris 2018

Galuchat par Karen Swami, grés émaillé à base de phosphore et d’étain

Galerie Alexandre Guillemain – Lampadaire Grande Soucoupe en aluminium poli par Yonel Lebovici, 1978

Pouenat – Suspension « Sunset » par Rudolphe Parente

Galerie Negropontes – Sculpture murale par Eric de Dormael

Galerie Maria Wettergren – « My Golden Horizon » par Astrid Krogh en feuilles d’or sur aluminium (arrière plan), « Red Powder Variation n5 » par Carl Emil Jacobsen (premier plan à gauche)

Carpenters Workshop Gallery – Sushi Mirror par Fernando & Humberto Campana © Carpenters Workshop Gallery

Carpenters Workshop Gallery – Lamp (Solid) par Andrea Branzi en papier de riz Japonais, bambou et pierre bleue Belge © Carpenters Workshop Gallery

Carpenters Workshop Gallery – Monster par Maarten Baas, bronze © Carpenters Workshop Gallery

Galerie BSL – Shuidi Shelving Units par Studio MVW © Galerie BSL

 

Plus d’informations sur l’évènement : PAD Paris

Crédit photos (si non cité): Seen By Kloé pour Blog Esprit Design

By Blog Esprit Design

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À propos de l'auteur
Kloé
Photographe freelance chez 
Seen By Kloé
Exploratrice freelance d’architecture et de design entre Paris et Oslo

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  1. Bonjour, RoWin’Atelier n’est pas neerlandais il s’agit du début de nos deux noms de famille, et en anglais (sans le G à la fin) veut dire ramer, ce qui nous correspond bien car nous n’aimons pas faire les choses dans l’urgence et nous trvaillons avec des savoirs faire traditionnels qui demande du temps. Et pur la blague nous ramons aussi.Le vase est réalisé par un jeune orfèvre (ainsi que le miroir à poser dit de courtoisie).Le grand miroir est un miroir inséré dans du plexiglass, qui utilise ici des savoirs de pointe.Une des lampes à poser a été réalisée en partie (le déflecteur) par un dinandier et le pied dans un marbre que nous avons sourcé en France.Le fauteuil et la console nos dernières créations sont comme le miroir mural, ils allient savrois faire et haute technologie. En ce qui concerne le prix je ne me prononcerais pas davatge nous avons déjà eu l’honneur de le recevoir pour une première présentation. Merci.

  2. Je dois dire que je ne connaissais   ni RoWin ni la galerie  Guillemain qui auraient  gagnés  ensemble  le prix du design contemporain du PAD 2017…La  principale curiosité PAD , c’est que ce sont  plus les galeries qui obtiennent les  différents prix et non simplement les créateurs d’objets. La deuxième  curiosité  c’est design contemporain… Tous les prix de design sont pour des créations contemporaines Et bien Non le PAD donne deux prix design moderne et design contemporain. On peut en discuter. mais je trouve que beaucoup de pieces  présentées  en design par des  décorateur sont plus modernes ou post modernes que contemporaines et même  premoderne. La 3 ème surprise c’est que le prix du design contemporain  2017 était un prix Ex aequo  avec Laura de Santillana  et la galerie Scremini…  Je trouve que beaucoup  de pieces exposés en 2017 auraient pu obtenir ce prix…Je trouve aussi que ceux qui profitent,  qui fabriquent et le plus souvent manufacturent ces objets d’exception   hors de prix comme  pour vous  la société Design et Solutions meriteraient aussi  un prix special… Finalement,  ce sont les grands collectionneurs, les hauts decorateurs et leurs riches clients qui donnent le   prix final… 

  3. Thé RoWinner 2007 is…. Que Rowin gagne  avec son prénom neerlandais   un prix de design à  Paris après avoir ramé  depuis Eindhoven c’est  frequent.. Depuis la Villette,  ce l’est beaucoup moins…C est archidur .  Moi aussi j’ai beaucoup ramé  sur la toile pour comprendre,  c’est à dire prendre ensemble votre petite surprise visuelle a la Oki  Sato/ Nendo  ou à la Constance  Guisset….En général  un vase ne pose pas de problème  d’affordance Quand il contient des fleurs  coupées , n’importe quelle chose devient un vase. ..J’ai pensé  que c’etait un culbuto en métal avec une boule qui reste à  la même place.quand il bouge. Mais comment tient elle cette spher  en suspension et qu’elle est sa valeur d’usage ?  Quand j’ai vu le prix 4000 euros j’ai imaginé  un dispositif enscien hyper complexe de type  Guisset ou Lehanneur  mais…rien !L’idee de 3 boules interchangeables est surprenante mais moi je dis qu’un vase a trois boules ensemble, c’est encore plus surprenant..J’espere recevoir de vous comme dit Gérard genette,  un architexte

  4. Bonjour, Ravi de voir la galerie Alexandre Guillemain dans votre sélection, je regrette juste que sur la photo on ne voit pas nos fauteuils dessinés pour la galerie, avec qui nous avions l’année dernière présentées notre collection qui avait reçue les honneurs du PAD avec le pris de design contemporain.

  5. Il faudrait faire un diagramme de Venn pour savoir ce qui est  du design et ce qui n’en est vraiment  mais vraiment pas…Un objet d’architexte a plus de valeur par la notoriété  de l’archi et le texte egotique  et hagiographique que par sa valeur d’usage et le prix de son matériau et de son usinage.. Un objet de decorateur a  de la valeur par la notoriété  de  haut décorateur dans la haute société  et par le prix de la  matière travaillée par un artisan d’art. reconnu.. 

  6. Avec mon e-pad,  j’ai fait un tour du PAD de ses 70 galeries marchandes qui vendent à  prix d’or  J’ai regardé  et je  garde en mémoire la sucette japonaise  de Branzi.pour sa forme et sa logique matériaux .., une table de la galerie marchande  kreo pour sonhybridation, une biblio doré  et peroxyde du désigner chinois. Xu Ming  que ma tablette qui a peu d’inteligence contextuelle écrit en petit nègre you  toi Ming ?  dans la galerie marchande BSL…et un tableau de  le Corbusier…. car je lis actuellement un livre sur lui pour le déconstruire… Cela me Derrida….dans e pad…. prof Z humoriiiiite

  7. Le haut décorateur architextureur Charles Zana  aime aussi Andrea  Branzi, le désigneur ( mot valise avec designer et seigneur)   .Cela se voit sur la table du PAD remplit de vases à  figurines. Ce qui n’est  toujours pas ma tasse de thé mais il est très fort en vases.  Je l’ai vu à  Bordeaux avec un ami jury comme lui et je lui  ai dit  Please to MYTHE you,…. Certains comme Constance Guisset du MAD aiment Branzi le théoricien au lexique assez vaseux pour s’enliser comme dans  un texte de philo de Derrida ou de Deleuze… En grec théoria veut dire CONtempler, REgarder… C’est tout CON…Un amateur collectionneur REgarde avec égards avec attention   et le GARDE…Pour l’instant, je le garde en mémoire tellement  il s’est répété.avec ses branches d’arbre dans le design., si bien qu’il en a fait une branche du design  urbain qui va de Milan à Eindhoven,  London.  NewYork