Retour sur le salon Révélations 2017

12 mai 2017 /
2 commentaires

Retour sur le salon Révélations 2017 qui vient de s’achever au Grand Palais de Paris.

Pour sa troisième édition, la biennale des métiers d’art et création se tenait du 4 au 8 Mai dans la cadre magique de la nef du Grand Palais de Paris, avec une scénographie signée – comme lors de l’édition précédente – par le Studio Gardère. Plus de 400 exposants étaient présents cette année en offrant un aperçu de la création internationale par la diversité et le très haut niveau des propositions de chaque institution.

Cette année marquait aussi le début d’un partenariat avec le festival D’Days qui avait installé son programme Design & Métiers d’Art dans le salon, avec le projet Péri’fabrique et les connexions de speed dating.

Retour en images sur les pièces marquantes…

Meteorite, verre, par Alexa Lixfeld

Lampes en verre par L. Andrighetto et J-C. Miot

Chaise L7, carton alvéolé, par Tine Krumhorn

Tu succombes, porcelaine, par Nathalie de Smedt

Fauteuil en marbre par Marbrerie Fochesato

Lustres Planètes par le Semeur d’Étoiles

Cache cache par Maïté Tanguy (tisserande) et Marta Bukowski (designer)

Création en ébénisterie par Arca

Nacre d’ormeau de Nouvelle Zélande, laque Coréenne, fibre de verre par Sam-Yong Hwang

Mécanica Áptica, chêne cogite, bâche, tepav par Cristian Salineros

In-ondes, cristal soufflé, bâche, par Mathilde Caylou

Cette édition mettait également à l’honneur le Chili, avec un espace spécialement dédié…

Volume III, lin et soie, par Paola Moreno

Lier le même, lin et soie, par Paola Moreno

Et l’on pouvait même croiser dans les allées un drôle de monstre:

Itadakimasu, bois, papier, plâtre, polyester par Camille Bellot et Paul Boutellier

Scône Sloane par Philippe Douillet pour Maison Charles

Lustre Falling bulbes par luc Gensollen pour Maison Charles

Scène Mâtho par Hadrien & Söhé pour Maison Charles

Im fluss, érable, par Patrick Rapp

Wenders, collection FLOATS, verre soufflé à la canne par Andrighetto L. et Miot J-C.

Peace Wind Japan par Studio Leitner et Sarah Rousselle

Biosphère III, peuplier, par Wouter Van Der Vlugt

Rendez-vous en 2019 pour la prochaine édition !

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Crédit photos: Seen By Kloé pour Blog Esprit Design

By Blog Esprit Design

 

 


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À propos de l'auteur
Kloé
Photographe freelance chez 
Seen By Kloé
Exploratrice freelance d’architecture et de design entre Paris et Oslo

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  1. Merci Kloé pour cette belle rétrospective.Pour mémoire, les créations en bois au premier plan du carré chilien sont d’Egon Muñoz :  

  2.    Comme le manche  de marteau de Stadler  protypé par Arca  a dejà été exposé  au Palais de Tokyo en 2015 dans une exposition l’usages des formes…  avec  celui de Carelman  , J’ai trouvé le texte  ci dessous vraiment INCOMPREHENSIBLE  pour un amateur de philosophie  des techniques (rare en France) , pour un philosophe  de l’art (des esthéticiens quelquefois recyclés en critique ou prof de design )… et encore plus pour un designer amateur d’art  d’art comme moi…..  Gallien Déjean,  était commissaire de l’expo et Robert  Stadler , scenographe  et s’est  servi de son marteau  comme  illustration d’affiche. »Selon Gilbert Simondon, les instruments techniques ne
    sont pas seulement des objets utilitaires, mais aussi des
    éléments syntaxiques qui apportent des informations sur
    le monde. Cette dimension allagmatique s’incarne dans
    la poignée, partie essentielle de l’outil, illustrée dans
    l’exposition par le manche courbe en bois de châtaignier
    réalisé par Bernard Solon pour manipuler son crouet à
    deux dents. Certains artistes ont démontré par l’absurde
    cette fonction allagmatique, à l’instar des « objets
    introuvables » de Jacques Carelman ou du manche de
    marteau dessiné par Robert Stadler. »   Il m’arrive   de raisonner comme un manche  et donc  de me sentir tout  cloche….  mais je ne confond pas une poignée et un manche..