Retour sur le salon Révélations 2017 qui vient de s’achever au Grand Palais de Paris.
Pour sa troisième édition, la biennale des métiers d’art et création se tenait du 4 au 8 Mai dans la cadre magique de la nef du Grand Palais de Paris, avec une scénographie signée – comme lors de l’édition précédente – par le Studio Gardère. Plus de 400 exposants étaient présents cette année en offrant un aperçu de la création internationale par la diversité et le très haut niveau des propositions de chaque institution.
Cette année marquait aussi le début d’un partenariat avec le festival D’Days qui avait installé son programme Design & Métiers d’Art dans le salon, avec le projet Péri’fabrique et les connexions de speed dating.
Retour en images sur les pièces marquantes…
Cette édition mettait également à l’honneur le Chili, avec un espace spécialement dédié…
Et l’on pouvait même croiser dans les allées un drôle de monstre:
Rendez-vous en 2019 pour la prochaine édition !
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Crédit photos: Seen By Kloé pour Blog Esprit Design
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Merci Kloé pour cette belle rétrospective.Pour mémoire, les créations en bois au premier plan du carré chilien sont d’Egon Muñoz :
Comme le manche de marteau de Stadler protypé par Arca a dejà été exposé au Palais de Tokyo en 2015 dans une exposition l’usages des formes… avec celui de Carelman , J’ai trouvé le texte ci dessous vraiment INCOMPREHENSIBLE pour un amateur de philosophie des techniques (rare en France) , pour un philosophe de l’art (des esthéticiens quelquefois recyclés en critique ou prof de design )… et encore plus pour un designer amateur d’art d’art comme moi….. Gallien Déjean, était commissaire de l’expo et Robert Stadler , scenographe et s’est servi de son marteau comme illustration d’affiche. »Selon Gilbert Simondon, les instruments techniques ne
sont pas seulement des objets utilitaires, mais aussi des
éléments syntaxiques qui apportent des informations sur
le monde. Cette dimension allagmatique s’incarne dans
la poignée, partie essentielle de l’outil, illustrée dans
l’exposition par le manche courbe en bois de châtaignier
réalisé par Bernard Solon pour manipuler son crouet à
deux dents. Certains artistes ont démontré par l’absurde
cette fonction allagmatique, à l’instar des « objets
introuvables » de Jacques Carelman ou du manche de
marteau dessiné par Robert Stadler. » Il m’arrive de raisonner comme un manche et donc de me sentir tout cloche…. mais je ne confond pas une poignée et un manche..