Ce mardi 21 février, La Chaise Française nous a présenté une nouvelle venue dans sa gamme, créée par un designer que nous suivons depuis près de 10 ans déjà : Adrian Blanc. Découverte.
Adrian Blanc, c’est le kit à apéritif Sunset, le mobilier urbain Boll, mais aussi de très belles collaborations, avec Hartô, Fermob, ou encore Eiffage ! Issu de la prestigieuse école helvète qu’est l’ECAL, le designer est aujourd’hui implanté dans la région lyonnaise. C’est désormais par le biais du studio Pondy -qu’il a lancé en 2018- qu’il opère. Interrogé sur son style, il considère être particulièrement inspiré par les influences méditerranéennes et scandinaves ; un mélange qui porte ses créations dans un univers généreux, vivant mais aussi très efficace et précis. Adrian Blanc nous révèle sa fascination toute particulière pour les unités de fabrication françaises, qu’il félicite pour réussir à mêler qualité et durabilité.
De son côté, La Chaise Française prône une nouvelle ère constatant aujourd’hui qu’en France, 80% du mobilier est importé. Une approche vertueuse, un made in France non-élitiste, et la confrontation d’une industrie de qualité avec un travail créatif poussé. La promesse de l’entreprise ? Proposer “la chaise pour tous”. L’idée est de proposer un rapport qualité-durabilité/prix imbattable. Par sa capacité à fabriquer à 100% en France, l’entreprise est fière de constater qu’elle a le contrôle total sur sa production et sa qualité. Et pour ça, la fabrication locale et les circuits courts ne suffisent pas. Hector de Bartillat, le fondateur l’a bien compris, et impose à son fabricant d’utiliser de la peinture à l’eau, mais aussi une colle naturelle développée à partir d’amidon de blé. Au delà d’éviter les méfaits pour la santé, les efforts de La Chaise Française permettent de faire tomber les émissions de co2 de 40% par rapport à une chaise fabriquée en Europe. “Il nous est impossible de comparer à une chaise fabriquée en dehors de l’Europe tant la différence d’échelle des chiffres est énorme. C’est surtout le transport qui nous permet de faire la différence sur ces enjeux” nous précise Hector. La manufacture historique -située dans l’Aube- au sein de laquelle La Chaise Française s’est installée permet à la jeune marque de s’assurer une capacité de production confortable, de haute qualité. En retour, l’éditeur apporte à l’industriel une capacité d’innovation, et la curation de jeunes talents du design. Récemment, La Chaise Française a collaboré avec Margaux Keller.
Et la SR10 dans tout ça ? Elle est née de la rencontre entre Adrian et Hector, sur un salon, portée par la notion de made in France. Une rencontre qui s’est rapidement transformée en discussions, puis en projet. C’est une chaise 100% made in France : la conception, les matériaux, jusqu’à la fabrication et l’assemblage. Elle répond, à l’instar de ses devancières chez l’éditeur, à l’engagement de la chaise pour tous. Elle s’adapte à des attentes différentes, selon que l’utilisateur la choisisse avec ou sans accoudoirs, avec un piètement en bois ou des roulettes. C’est pourquoi elle s’adapte aussi bien à des bureaux, qu’à une utilisation chez les particuliers, tant pour le télétravail qu’autour d’une table de repas.
Particularité importante, et c’est à nos yeux l’une des forces du made in France, il est tout à fait possible d’imaginer des modèles sur-mesure, tant au niveau du bois et des tissus qu’en matière d’accoudoirs. Le modèle générique est présenté en hêtre naturel, tissu bleu, et accoudoirs noirs. Si les accoudoirs sont un peu plus contraignants et demandent davantage d’unités pour être personnalisés en brillant, en mat, et en différentes couleurs, les possibilités sont en revanche infinies sur les tissus et possiblement les essences de bois, à partir de 5 unités pour les professionnels.
Autre annonce, La Chaise Française nous donne rendez-vous pour l’ouverture de son showroom parisien, dans une dizaine de jours, 22 rue Chaptal dans le 9e arrondissement de Paris. A vos agendas !
Pour plus d’informations :
Pondy Studio, par Adrian Blanc
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