Flashback Design 202

09 novembre 2013 /
9 commentaires

Flashback Design - Blog Esprit Design

Pour cette semaine de Design Tour Lyon, voici une nouvelle édition du FlashBack Design, rétrospective ludique hebdomadaire du Blog Esprit Design.

A la découverte des archives du blog sur un principe tout simple, sélectionné un article marquant par année correspondant exactement a la semaine qui vient de s’écouler.

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>> Tête d’affiche

L’ECOSYSTÈME IDÉAL PAR MATHIEU LEHANNEUR MAIS PAS QUE…

L’ECOSYSTÈME IDÉAL PAR MATHIEU LEHANNEUR MAIS PAS QUE…

>> 2008

MARTIN SAEMMER, MÉTIER DESIGNER

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>> 2009

Dessiner ses meubles en motion capture

>> 2010

LA CONSOLE PAR MARC TROTEREAUS

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>> 2011

TABLE À BASCULE, TAFELWIP PAR MARLEEN JANSEN

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>> 2012

QUI PEUT LE PLUS PEUT LE MOINS : THE BONE CHAIR

QUI PEUT LE PLUS PEUT LE MOINS : THE BONE CHAIR

Alors .. quel article ou création attire votre attention ?

By Blog Esprit Design


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Vincent - Blog Esprit Design

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  1. Cependant, certains diront à juste titre qu’aborder la question du projet de design sur le plan du « bankable » peut être la cause d’une aseptisation des projets…
    Il est claire que développer de réels concepts en étant trop regardant sur la question de la réalité économique, ne peut être que limitant.
    Peut-être est-ce davantage une question de la place de la culture d’entreprise dans les formations en design…?

    Une connaissance et une conscience des enjeux économiques davantage approfondit ne serait souvent pas du luxe. Le placement de produit, l’image de marque, la rentabilité, la lisibilité, la communication, le discours, sont autant d’aspects à prendre en compte lorsque l’on aspire à faire éditer son projet.

    Pour vous citer, Z, je dirais que « le design sans un entrepreneur reste un prototype »…

  2. @Z, la reflexion de Anthony van den Bossche est à mon sens très juste, et mériterait à elle seule un long débat.
    Il s’agit pour moi de l’une des réflexions qui m’anime ces derniers temps en parcourant les salons.

    J’ai la sensation que beaucoup de projets, voir la plupart, ne sont pas, ou difficilement industrialisable puis vendable.
    Trop technique, trop fragile, trop cher, il me semble que bien souvent la conception est détaché des contraintes de Faisabilité, de rendement, d’accessibilité.

    Une création souvent déconnecté d’une réalité économique, semblant refléter une non-conscience d’une nécessité, celle de concevoir des produits éditablse…

  3. ECOSYSTEME DU DESIGN: il apparaît quelquefois difficile de distinguer l’apport des uns et des autres dans la construction progressive d’un code formel de plus en plus hermétique…. comme des bocaux sur un aquarium…
    Dessin de concept de Pierre Favresse?
    [img]http://www.paris-art.com/img_news/createur/g_AC09dessiner09.jpg[/img]

  4. @ Vincent Bed@ Martin Napoleoni
    L’ecosysteme du design….comme un poisson dans l’eau dans l’aquarium de Graindorge ?
    Anthony van den Bossche, tête d’affiche du Duende Studio ?
    « Si par utopie vous entendez déconnecté de la réalité, en l’occurence commerciale, alors le design est plus que jamais utopique. 95% de la production d’objets est un échec commercial. Le salon de Milan est une gigantesque maternité accouchant chaque année de milliers de projets mort nés, sans aucun avenir commercial, ou d’une durée de vie limité à sa première production (combien d’objets retrouve-t-on d’une année sur l’autre ?). Grâce ou à cause de sa relative mise en oeuvre (là encore une question d’échelle), le design est donc une gigantesque accumulation de tentatives, c’est ce qui le rend charmant et un peu gaspilleur… » Anthony van den Bossche , brillant 😆 éclairant 😆

  5. @Martin Napoléoni
    Or le danger vient, quelque soit la technique employé, la technologie employée, le procédé employé, la methodologie employée du bas de la chaise d’un autre designer des Pays Bas Marcel klever… Prix Thonet
    On peut aussi se poser la question du dessein de l’architecte ?
    [img]http://www.architectura.be/img-poster/plyx-marcelklever.jpg[/img]

  6. @Martin Napoléoni
    Echo? Mon approche de regardeur ne demande pas d’autres méthodes que celle du dessin à la silhouette du 17 ème siècle…. et bien avant quand nous étions chasseurs cueilleurs….nous connaissons la silhouette du danger.
    « on part d’un volume, celui d’une chaise, c’est à dire un tabouret avec un dossier »….. francois bauchet pour Keo
    [img]http://www.francoisbauchet.fr/projets/projet43/site1270123744.jpg[/img]

  7. @Martin Napoléoni
    Toute créateur a une ou plusieurs recettes. Ce qui compte c’est objet qu’il crée. Je sais que l’on veut nous vendre ici de la méthodologie, là de la technologies, là des références à l’art ou à la science ou les 3 pour un proto ou une série limitée hors de prix en galerie ou au enchères. Il faut absolument grandir le créateur d’objet. Cela me fait penser à Alain Cadix , ancien directeur de l’Ensci qui disait en substance , le design c’est plus que l’art, c’est plus que la science .
    Au final il arrive à une image immédiate proche du projet de Marcel Klever, un jeune designer hollandais qui je crois à reçu le prix Thonet pour cette chaise Pour un archi, le meuble, c’est tellement petit que souvent il sous traite sans le dire à un designer qui a un peu de métier. Cela a peu importance directe car cela finira en publi redactionnel déguisé en article pour alimenter la société de l’attention.

    [img]http://www.architectura.be/img-poster/plyx-marcelklever.jpg[/img]

  8. THE BONE CHAIR, évidement pour moi.
    Je trouve intéressant la manière très méthodique dont font part les architectes dans l’exercice du design. En l’occurrence l’Agence JDS (Julien De Smedt Architect), ancien associé de BIG (Bjarke Ingels Group) dont les méthodes de conception architecturale ont été aussi saluées que critiquées.
    En résumé, ces architectes ont une approche très méthodique, trop selon certain, qui fait fi de quelques siècles de principes de conception architecturale.Une logique implacable, des « recettes » de conception, et très souvent une négation du site de projet.
    Dans l’application au design, la recette est presque la même, il s’agit de partir du volume initiale, c’est à dire celui convenu et inamovible correspondant à l’archétype sur lequel on travail.
    Ici, on part d’un volume, celui d’une chaise, c’est à dire un tabouret avec un dossier, et on applique une unique méthode, celle de pousser un archétype dans les cordes, d’en révéler l’essentiel, le squelette…Une Bon(ne) chair!