Table en papier maché par Matthias Ries

28 juillet 2010 /
22 commentaires

Table en papier maché par Matthias Ries

Béton, bois, mosaïque, résine, plastique, une diversité impressionnante de matériaux utilisés dans la création de mobilier et autres concepts, mais ici le designer allemand Matthias Ries, dans un soucis d’écologie utilise 50 journaux usagés pour créer le plateau de sa table.

Nommé Maché, le nom résume le concept de cette table. 50 journaux, un traitement à l’huile de lin pure en surface pour une table 100% recyclable.

Table en papier maché par Matthias Ries

Table en papier maché par Matthias Ries

Table en papier maché par Matthias Ries

Table en papier maché par Matthias Ries

On aime l’utilisation d’une technique ancestrale (époque victorienne) pour projeter sa création dans un univers contemporain.

Site du designer : Matthias Ries

Merci à Matthias Ries, en personne, pour sa gentillesse et disponibilité.

By Blog Esprit Design


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Vincent - Blog Esprit Design

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  3. @rothring
    Hier soir j’ai écouté un directeur de musée parisien donc d’institution culturelle parler de le monstration pour parler de montrer une oeuvre… Amélie Nothomb a bien utilisé la perception de ce mot ou plutôt de ce barbarime en parlant « la monstration de mon horreur »…Les blogs font de la monstration de design autrement dit deviennent un media comme les autres qui presente le design comme des suites de sujets d’indignation, ce qui est assez différent d’un rapport d’étonnement d’un critique.Vincent ne le fait pas aussi systématiquement que d’autres blogs.

  4. Le decorateur de texte c’est pas toi c’est un décorateur commentateur litterateur que j’avais voulu intégrer dans une sorte d’amicale des contributeurs de blogs et qui m’attaque maintenant violemment. Je ne le cite plus car nous sommes dans un monde du nombre de citations qui fait la réputation. En lisant Peter Sloterdijk (un philosophe allemand, recteur et professeur de philosophie et d’esthétique à la Hochschule für Gestaltung de Karlsruhe .) j’ai compris que c’était un « partenaire de conflit ». C’est l’école de Ries avec comme prof Aisslinger et Diez…
    Si tu as 45 mn pour « élargir le monde » écoute Peter Sloterdijk
    http://www.google.fr/search?q=Sloterdijk%20levy&um=1&ie=UTF-8&tbo=u&tbs=vid:1&source=og&sa=N&hl=fr&tab=wvPeter Sloterdijk

  5. Comme le designer allemand Werner Aisslinger qui a été prof de Ries j’aime être prédictif, cad prédire l’édition, le succès ou l’échec médiatique ou commercial d’un produit ou d’un designer ou d’une entreprise…et ensuite de comparer avec les faits…
    J’ai pas mal mâché le travail a de jeunes designers qui ont été validés et/ ou édités mais qui restent bloqués soit par des erreurs tactiques stratégiques de jeunesse , soit par leur ego, soit par la réduction du marché soit par l’atomisation des designers à laquelle participe les blogs . ces derniers ne sont pas des validateurs crédibles puisqu’ils jouent comme une partie de la presse trop de sujet d’indignation c’est à dire sur la detestation, la provocation ,..

  6. Le decorateur de texte ne s’est jamais positionne comme votre partenaire de conflit.
    Il ne pose pas de conflit, mais recherche parmi des questionnements des ouvertures de la pratique du design.
    Maintenant que mon texte ne soit pas aussi relie a d’autre tete pensante fait de moi un obscur decorateur de texte.

    Dans ce cas je reste dans ma pratique d’objet de decoration et d’architecture pour nanti.

    Mon entreprise se porte bien, et n’est pas en recherche de presse et renomme afin de parader dans les meandres obscur de Madame figaro.

  7. Je ne l’ai pas trouvé non plus dans les 1000 modèles sélectionnés dans l’officiel 1000 modèles 2010- 11 En plus de la sélection toujours incomplète, je conseille la lecture des textes de Pierre Doze. Vous pourrez
    comprendre la différence entre un obscur décorateur de texte qui veut briller plus que ce qu’il commente et qui s’est positionné comme mon « partenaire de conflit » et un brillant critique,essayiste, professeur qui éclaire tout ce qu’il commente….

  8. En accord

    Mais l’objet de presse est -il necessaire?
    Pourquoi doit-on faire sa notoriete autour de cela?
    Si il faut accrocher la presse, devient-on provocateur?

    Ora Ito a bien reussi a son buzz, par cete provocation.

    Martin Baas vend en galerie.

    Faire de l’objet presse aigisse les journalistes, qui attendent a Milan comme des chiens enragés, ne pas ce faire mange par celle ci veut-il dire finir au trou?

    Le parcourt academique en fait-il un parcours de validation?
    (dans ce cas je me rhabille, je suis hors circuit)
    Que dire du parcourt profesionnel, hors ecole, mais en societe?

    Plus validateur?

  9. On me censure par ici, et par mail.
    Posser des questions et mettre certaine pratique en exergue en enevrve ou deplaise certains.
    Peu importe.

    La table a ete mache par le designer en personne, sans aide, (confirmation par mail).

    Quand a l’image de presse, j’avoue connaitre la finalite de l’objet, mais image immediate ou interpretation fortuite.
    http://www.muuuz.com/2010/06/11/radiation-chair-par-studio-nocc/

    Et il reitere:
    http://s3files.core77.com/blog/images/2010/05/dd-table.jpg
    vs
    http://www.blog-espritdesign.com/mobilier/seul-dans-la-foule-table-basse-par-rolf-sachs-4208

    Qui gagne?

    @Prof Z

    La valadidation par la notoriete, peut etre, mais que dire de Ora Ito, face a Starck.

    Autant l’un a fait son nom mais des objets avant, autant l’autre a fait son nom avant de faire quoi que se soit de bien.
    L’objet devient la face cache du designer?
    Le plus difficile, si l’on veut se faire un nom, c’est de garder l’elan d’une premiere starakisation, d’un premier objet accrocheur, qui en fout plein la gueule!
    N’est-il pas mieux de se faire un eligne conductrice, un dogme, qui permet de rester dans une attente tout en sachant sortir des sentiers battus a chaque nouvelle interpretation?

    http://matandme.net/wp-content/uploads/2008/04/maartenbaas1.jpg

  10. lire seule validation, la validation est la clef de la notoriété…la grande difficulté, c’est de comprendre qui valide qui et pourquoi il le fait. En fait comme dit un critique d’art devenu domaine connexe du design, il faut à chaque créateur un trousseau de clefs pour ouvrir les portes… et j’ajoute les donner ou en donner d’autres au grand public…

  11. J’ai eu des entretiens avec le bras droit et le bras gauche, de designers connus et même célèbres, mais aussi avec des cerveaux . Cela me permet de dire ce que certains experts, historiens et journalistes ne savent pas et /ou ne peuvent dire…car beaucoup sont devenus selon le redoutablement lucide philosophe allemand Peter Sloterdijk, le prototype de l’homme porteur d’un message zéro, des fonctionnaires de l’information ou des câbles vivants…C’est ce qu’a compris le premier Ora Ito ou son bras droit ou son cerveau…
    Tout designer, tout créateur travaille avec son ego et avec un nom, indispensable à l’identification Mais certains ont un meilleur nom que d’autres. Un expert en communication ou en design, je ne sais plus tellement tout se confond aujourd’hui disait, la meilleure création de STARck c’est son nom. Il en est de même d’Ora ito, son « fiston » comme dit Dieu du design… Un expert dont la celle validation est d’avoir travaillé pour le grand Moa Moa m’a dit « vous exagérez, il n’y a pas que cela »…depuis il censure mes commentaires sur son faire valoir de blog…
    C’est vrai mais essayez de prononcer Sloterdijk et pourtant c’est l’un des plus important penseur européen actuel et essayez d’écrire Quitlet dans google …
    Le dieu du design Philippe, ne fait rien au hazard, les autres dieux non plus mais ils se trompent un peu plus stratégiquement, tactiquement…

  12. @ Vincent
    Matthias peut etre tres gentil et friendly, mais il fait parti de ses designers qui travaillent avec leur nom, leur ego.
    et cela les denatures parfois trop souvent.
    Le star system ne doit pas s’appliquer a ce genre de discipline, nous sommes createur, copieur, mais pas « divertisseur ».
    Le fait de faire de son nom une marque cree une distorsion de sa propre image? Question ouverte…

    Zum Matthias: viel Gluck fur die naschte Miland.

  13. @ Prof Z
    Non pas mache par moi, mais par d’autre.
    Pour completer, une peinture a pigment naturel, donc pas de couleur vive, et un temps de sechage enormmmeeee (accompagne de petits champignons).
    Une demarche que je risque de desacralise pour avoir ete dans ses petits papiers, car finalement juste un objet presse, qui fonctionne en tant que tel, pour faire son petit buzz.
    Doit-on en passer par la?? Une sorte de marketing Eindhoven (peut etre un peu loupe, ou pas?)

    On avait fait une table presse pour Milan (slot), mais il n’a pas voulu suivre mes conseilles en mettant des personnages en copulation, dommage.
    http://www.blog-espritdesign.com/mobilier/seul-dans-la-foule-table-basse-par-rolf-sachs-4208

  14. Peter Sloterdijk :  » Il y a un nouveau savoir qu’il faut répandre, et ce savoir concerne les mécanismes inter-paranoïaques par lesquels sont reliés des adversaires, que l’on devrait plutôt appeler : « partenaires de conflits », partenaires qui se présupposent mutuellement pour se tenir dans leur bulle d’irréalité, laquelle est nourri par l’énergie paranoïaque. Il ne faut pas oublier qu’Homo sapiens est un animal, et qu’il est doté d’une grande capacité de combat … En tant qu’animaux, nous sommes des ontologues. L’ontologie, c’est la croyance en la présence de l’ennemi. « 

  15. Je laisse Rothring , Spasmody ou même maupado, le maniaque textuel et le Prof A, le confiturier diplômé mes « ennemis publics » comme dirait Bernard Henri Levy ou plutôt mes « partenaires de conflits » selon la formule lumineuse de Sloterdijk car je ne suis pas pour la table rase, ni pour la tabula rasa… mais pour un débat ouvert entre spécialistes et non spécialistes, entre le regardeur amateur et le professionnel qui peut être aveuglé par son ego, par sa prétention , par son statut, par ses « 5 ans d’études » et donc être finalement moins pertinent que le quidam qui aime et qui peut avoir un oeil plus exercé… car habitué à choisir entre le bon, le beau et le juste…