Vincent Tarisien, designer français œuvrant du côté de l’ECAL nous présente Timber, une table DIY (Do It Yourself) à monter et couler soi-même.
Combinaison bois brut et résine bio, le designer vous propose de composer votre table, créant ainsi votre modèle, unique par sa texture et couleurs le tout soigneusement emballé dans un tube en carton.
Une feuille d’instruction, des éléments en bois à imbriquer, de la résine bio à colorer !
Description du designer : « A playful and customisable furniture range derived from my research on the combination of two materials — made solely from bio resin and wood. Designed to be assembled at home, each piece in the collection is entirely customisable and comes neatly packaged in a cardboard cylinder. Once the wooden frame has been assembled, a resin is poured over the mould, which sets in just a few minutes.«
Plus d’informations sur le designer : Vincent Tarisien
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Question aux designers?
Pourquoi dans les dessins preparatoires ,-vincent-tarisienindique qu’il doit absolument faire un tour bois du plateau alors qu’il ne le fait pas dans son projet final?
Privilégie-t-il l’impact visuel par rapport à l’usage?
Pour se faire connaître faut-il faire du design normal ou des dutcheries (expression de Normal studio à propos du design d’Eindhoven) ou renverser les tables au sens propre et au sens figuré?
Table de Normal studio ( prof à l’ensci)en 1986
[img]http://www.pixelcreation.fr/fileadmin/img/sas_image/galerie/design/normal-studio-01/normal-studio-08.jpg[/img]
Author
@Persouyre Célia : Bravo au créateur 💡 💡
Vraiment top, très bien pensé. Bravo à Vincent… mais lequel?!
Quand le designer précurseur français Azambourg, prof à l’ENSCI fait de jeunes pousses françaises….. en Suisse à l’ECAL…
Après une nuit de réflexion, je pense que Vincent Tarisien confond une recette de cuisine avec un kit culinaire. Il s’agit ici d’un kit culinaire de meuble.
Comme lui, notre as de l’ingénierie du design , prof à l’Ensci , François Azambourg fait beaucoup de design expérimental prototypé dans les ateliers de l’Ensci. « Dans le monde industriel, ce qui est passionnant c’est le moule, qui est une espèce de « conformateur » à matière. On injecte des purées de matière et le moule en fait une forme, avec des fonctions, des surfaces obtenues d’un seul jet. Tout le dessin de l’objet est lié à un passage de fluides… Le moule est en général en acier chromé et, pour une chaise de deux kilos, il pèse plusieurs tonnes. Si je devais transmettre un objet, ce pourrait être ma première chaise, la chaise Pack en textile 3D qui pose la question du moule. Avec elle, qui représente deux années de recherche, on importe l’usine chez soi… Cette chaise pose aussi la question du transport, ici très économique puisqu’elle ne fait que 10% du volume d’une chaise pliée. » François Azambourg
La chaise brevetée en 1999 était destiné à la vente par correspondance. Elle est restée sur les étagères du VIA (association de valorisation de l’innovation dans l’ameublement) puis a tournée dans une expo Design en mutation…
« Que personne n’ait accepté de se lancer dans la commercialisation de cette chaise n’a pas découragé le créateur, qui en présente à Miami une version modifiée, aux pieds irréguliers et dans une teinte évoquant un métal corrodé. » Le Point.
« Les chaises, c’est quasiment un langage universel, un standard », dit-il. « C’est un objet du quotidien présent partout dans le monde » François Azambourg
Alors une table basse ? Pour être en vue et vendue la table basse est la pire des typologies…
Chaise pack d’Azambourg
[img]http://spd.sightunseen.com/wordpress/wp-content/uploads/2010/10/azambourg06-533×400.jpg[/img]
Avant Azambourg , il y avait Gaetano Pesce dans les années 80 qui travaillait beaucoup la résine
[img]http://www.lesartsdecoratifs.fr/local/cache-vignettes/L740xH387/rubon370-0ac42.jpg[/img]
«J’aime comparer ce projet à une recette de cuisine», dit Vincent Tarisien
Le problème de la table compartimentée, de la table cloisonnée sont multiples et liés aux usages de cette typologie( planité, liquide, entretien, durabilité) C’est pourquoi je préconise la transposition verticale qui améliore en plus la visibilité.Il cherche un éditeur (qui vend en boutique) ou une galerie (qui vend de la haute facture au sens de qialité de finition) , il aura des problèmes avec un produit non fini…Autant prendre la méthode auto-fabrication et auto-distribution via internet , ce qui implique d’améliorer son site…
Je ne dirai qu’un mot : génial !
bon la indubitablement il y a quelque chose !!! intelligent bravo @ vincent je sais cela ne peut pas etre tous les jours Noël @ Z oui à la transposition verticale très bonne idée
Nom de nom :
Appeler une table timber, c’est 56 millions d’occurences autant chercher une aiguille dans une botte de foin google…
Je cherche le nom en ébénisterie de la technique de compartimentage de plateau En tout cas on est pas dans le pied affleurant comme pour la table Seven de Masseaud ni dans la table de Joran Briand Trust in design
Du dessin au projet
Le dessin ne correspond pas au projet final ( carré identique remplace rectangle de dimensions differentes,simple plateau remplace double plateau,pieds bâton ou manche a balaie remplace un pied 50 ou pied Style Jean Prouvé)
Un cheval d’arçons qui n’a pas été un cheval de Troie médiatique….
Et pourtant en 2009 Vincent Tarisien etait l’assistant de Julien Carretero pour cette expo Chaos/ order pendant la design week d’Eindhoven. Le tabouret dans une typologie de cheval d’arçon en photo avait était « sélectionné » pour l’expo du Via des Ecoles en 2009…
Rien ne figure dans son site de designer mais seulement dans celui de Julien Carretero…
[img]http://www.juliencarretero.com/wp-content/uploads/20091026RHAK5463.jpg[/img]
@Maxime Vendome @Vincent – Blog Esprit Design @ Bob Le homard
Je dois dire que l’article de l’auteur et critique de design Vera Sacchetti dans Domus Web est remarquable.
Quels sont nos medias numériques et sur papier de projection internationale du design français? Il doit bien y avoir une ligne dans un rapport, un mémoire de la Mission design. Mais comme disent les allemands à propos des français: le pb n’est pas de parler, d’écrire mais d’agir de manière cohérente et continue dans un plan…
Je suis 100 % d’accord avec Maxime Vendome sur la qualité du projet de diplôme Master de Design de Produit ECAL de Vincent Tarisien mais il a un problème de com pour les projets en amont et pour le designer( pas de vrai site de designer digne de ce nom, pas de media sociaux pas de parcours de designer, pas de CV, pas de Photo portrait, pas de photo c’est moi qui l’ai fait) …
Cet ancien de l’Esad de Strasbourg a été assistant de Julien Carretero, un designer français formé à la DAE Eindhoven. Julien a quitté la France après ENSAAMA Olivier de Serres Paris et puis Birmingham Institute of Arts and Design, en Angleterre pour…. la Belgique
Les écoles de design français ne se projettent pas assez à l’international et n’ont pas une politique d’image internationale et de partenariat digne de ce nom. Combien d’écoles à part l’Esad de Strasbourg ont été à DMY Berlin ou à Satellite Milan ?
Vincent Tarisien ( un nom facile à écrire , à mémoriser et à relier à PARIS) a 1130 occurences Google dont 1030 avec ce projet soit 91 %, ce qui pose problème… Il a 221 occurences en français dont une grande partie par l’Ecal de Lausanne qui est dans la partie francophone de la Suisse.
Domus relaie plus de 2 fois plus les projets des Ecal que des Ensci. Le total des citations de toutes toutes les esad de France + les Ensci est inferieur au Citations de l’ecal par Domusweb
Author
Le souci est plus .. est de découvrir cette création, d’un designer français, en formation à l’ecal, du côté de Domus 😕
De tous les projets en DIY, je trouve celui ci vraiment bien fait, avec des techniques intelligentes.
Super projet, La vidéo y fait pour beaucoup !
J’adore, super découverte !
La visibilité projet, la visibilité designer… quid de la lisibilité public ?
Ce projet entre dans presque tous les tiroirs des tendanceurs, ce qui ne veut dire que les rédactrices des pages de style qui sont plus nombreuses que les pages de design vont adorer. Elles aiment les produits finis avec la photo d’un jeune et beau designer qui s’exhibent devant.
Je pense qu’une déclinaison verticale ( meuble étagère lui apporterait encore plus de visibilité) comme une fresque, une wall sculpture.
C’est le projet de diplôme 2013 de l’ECAL de Lausanne Suisse / Master Design de Produit du designer français Vincent Tarisien.
De plus en plus de designers français non seulement partent à l’étranger après leurs études, mais se forment principalement à l’étranger sans passer par le systeme cumulus de formation complémentaire. Beaucoup ont été refusés par l’Ensci les ateliers. L’Ecal offre une grande visibilité aux jeunes designers: ce projet se retrouve dans DOMUS, un magazine italien et international influent.