Réflexion sur notre pratique du design actuellement.
Attention chers lecteurs, cet article n’engage que moi !
Le monde bouge ! Il a toujours bougé, c’est dans sa nature, dans notre nature. Avec parfois des phases d’accélération sans que l’on comprenne pourquoi. Et des phases de profond questionnement qui se traduisent sous forme de crise et de remise en cause. C’est certainement ce que nous vivons dans ce siècle. Mais le design dans tout cela, ne serait-il pas devenu comme CUBA ? Le design n’est-il pas comme une vieille cassette audio que l’on réécoute en boucle ? Cette discipline que j’affectionne tant, n’est-elle pas malade ou même en danger ? L’innovation est-elle toujours présente dans les nouvelles générations qui sortent des écoles ? Certains diront oui et d’autres comme moi, répondront trop peu ou en voie d’extinction !
Je pense que nous sommes en ce moment dans une phase de non prise de risque. On cherche pour comprendre, à reproduire des schémas qui n’ont plus cours mais qui sont les bases de notre discipline. On essaye de décrypter avec nos moyens, de faire perdurer le peu que l’on s’imagine pouvoir maitriser. On s’imagine où on essaye de s’imaginer du nouveau contrefait… Et c’est là tout le problème ! Toutes les cultures et sociétés ont toujours été en mouvement, en questionnement, en évolution. La nôtre plus que jamais. La crise actuelle est un formidable moteur d’innovation mais l’avons-nous seulement comprise ? Nous, designer, devons donc inventer tous les jours l’avenir avec pour base le passé sans le renier, en rechercher les valeurs. Nous devons nous appuyer sur les travaux de nos pères sans copier ni trop s’inspirer des formes. Je ne donnerai pas d’exemples, car je ne souhaite pas montrer du doigt certains designer, mais seulement mettre en lumière cette aberration générationnelle.
Cet article fait suite à ce que je constate tout au long des expositions et des vernissages. Je suis désolé de constater à chacune de mes sorties des objets vides de sens et qui sont des copies un peu modifiées d’objets existants. Cet article est fait pour vous faire réagir et pour vous interpeller sur les objets qui nous entourent.
Merci une nouvelle fois à Adrien pour son œil neuf, sa vision, qui pousse à se poser les bonnes questions…
Pourquoi nous tournons bien trop souvent en rond ? L’influence trop forte du passé, du vintage, la formation trop stricte, le manque d’ouverture, de voyages, de découverte pour certains designers ou tout simplement le manque d’idée, de courage, de moyens ?
Deux citations pour ouvrir le débat…
« Innover, ce n’est pas avoir une nouvelle idée mais arrêter d’avoir une vieille idée. » – Edwin Herbert Land
« L’innovation systématique requiert la volonté de considérer le changement comme une opportunité. » – Peter Drucker
By Adrien M pour le Blog Esprit Design
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LE DESIGNER N’EST PAS UN « GRAND INVENTEUR », NI UN « GRAND INNOVATEUR »…. LE DESIGNER N’EST PAS UN GRAND…@ Martin Napoleoni, architecte @ Adrien Marolleau, designer Le designer n’est pas en general un inventeur c’est à dire qu’il dépose peu de brevets. Il n’est pas non plus un grand Innovateur. La recherche sur l’innovation est récente. L’un des premiers est l’economiste autrichien Schumpeter qui a expliqué que pour dynamiser le capitalisme il fallait mettre en avant la figure de l’entrepreneur innovateur. Schumpeter a aussi inventé le concept de destruction créatrice et de grappe d’innovations ( l’innovation en cascade). C’est dans ce contexte qu’a grandi l’image de Steve Jobs par exemple …. La figure du « grand designer », du » le grand écrivain » sont des concepts inventés par des entrepreneurs , les éditeurs de livres puis de meubles. mais aussi par des entrepreneurs d’autres secteurs de production pour accentuer la differenciation et la valorisation de leur entreprise et de leurs produits. La collaboration entre les « grandes marques » et les « grands designers » s’explique ainsi… Il restait au designer à devenir des entreprises et des marques… pour faire du co branding… STAR s’est battu pour être introduit auprès de Steve Jobs. Ce dernier avec son vice president l’a menait en bateau dans tous les sens du terme… Ces 2 marques n’ont pas la même valeur valeurs. . Philippe s’est battu pour faire du co branding avec Alessi et Alberto a fait du cobrandig avec Philips Ces 2 marques n’ont pas la même valeur. En terme de creation de valeur pour Alberto Alessi, le designer est beaucoup moins fort que l’architecte ( ce n’est pas juste une question d’echelle de projet) et même que le chercheur sémiologue qui encadrent les jeunes designers avec d’autres experts et cadres……… Un distributeur m’a douché : le design ne m’interesse pas. Je vends des objets d’architectes. Le paradoxe c’est que beaucoup d’objet d’archi sont des projets de designers intégrés donc de salariés verrouillés par un contrat de confidentialité ce qui n’empêche pas le off comme on dit en presse. Pour comprendre il faut faire un diagramme d’Euler ou de Venn avec des dimensions des disques qui correspondent à les valeurs financière, economique et symbolique. C’est donc bien plus complexe que l’on pense au depart un ecosysteme d’objets tangible fait par des designers car le design est de plus en plus devient intangible . surtout le design français et americain….
@ Adrien MarolleauLE FUTUR DU DESIGN FUT TOUJOURS L’APPROPRIATION DU PASSE …En plus clair je pense « mon » design donc je suis ( du verbe suivre) mais l’innovation c’est la contextualisation par le positionnement du createur et le para texte qui entoure l’objet et le designer. Le genius designer est devenu un raconteur d’histoires mais il les racontent de manière differente avec d’autres materiaux au sens large… Je suis difficile à suivre car le design comprend toutes les matières scolaires, universitaires et même plus… Dans chaque objet tu verras qu’il y a dedans des inventions, des innovations des autres…. L’innocation du design ne reside pas que dans l’objet… mais dans « son invention » en temps que designer auteur« Je me méfie de la main et de ses recettes formelles, de ses réflexes. Je ne dessine presque pas, c’est la phase mentale qui compte, j’ai le concept de l’objet, “le machin”, en tête. Je fais juste quelques croquis pour le communiquer à mes assistants, qui le passent tout de suite en 3D. […] Avant, on choisissait une courbe sur le perroquet, maintenant on désigne des images, des objets dont on s’approprie des détails. Toutes les formes existent, il n’y a pas à les redessiner mais à les désigner et à se les approprier pour donner une forme au concept imaginé. » Lehanneur
En general j’arrive à me decentrer et à me mettre dans le regard de l’autre… J’utilise les dernières recherches sur les neurosciences et je googelise le chemin du penseur createur … J’identifie son territoire, son domaine d’intervention, ses concepts, son vocabulaire et sa grammaire artistiques, ses referents, ses aspirations affichés ou cachés…. Je procede par analogie et de manière prédictive En general la creation et l’innovation en design ou en art partent toujours du connu… comme Adrien Marolleau lors de sa presentation de diplome à Créaopole…. …..
Le design est un concept complexe qui touche tous les champs aussi bien de manière visible qu’invisible … Or pour la plupart des gens c’est en réalité un style Pour certain c’est un luxe…. Je viens de voir une expo d’artisans d’art. Je ne vois pas la différence avec certains designers…. Dans ce contexte si on ne peut même pas borner l’objet d’une étude, comment dire que c’est en pause…. Il est vrai que les valeurs de réassurance écrasent les valeurs d’innovation sur le marché du meuble moyen gamme et que les artisans d’art sont en compétition avec des designers qui les écrasent de leur notoriété sur le segment plus orienté vers le luxe. La differenciation se fait par le diplome et le chemin ….. mais cela est long et complexe à analyser… Si on prend un diagramme de Venn Il y 4 chemins le chemin d’artiste, le chemin de designer auteur, le chemin d’artisan d’art, le chemin du design de people avec des intersections ….
je ne suis pas certains que de remettre une nouvelle fois en cause la définition même du mot « Design » fasse avancer la chose même si cela est primordiale…
Partons alors sur le Design objet ? (mobilier … )
Je suis d’accord avec Tim Defleur…. Il faut dire de quoi on parle. Maison Objets n’est pas LE design ni Milan d’ailleurs… ni IMM Cologne. Il n’existe pas de définition consensuelle de l’ innovation ni du designComme il n’existe pas de definition consensuelle d’ecosysteme ni du design d’objet. Il faut donc donner sa lecture de chacun de ces concepts. sans en faire une montagne…. Alors si on parle du design d’auteur dans le contexte du design de meuble par exemple, il ne faut pas prendre un diagramme de Venn de Tim Brown d’IDEO. Pour l’innovation dans le secteur du meuble nous avons le VIA (valorisation de l’innovation dans l’ameublement) . Pourtant , j’ai reçu un appel permanent du VIA pour un projet qui n’avait aucune innovation, aucune invention qui était un dessin sous influence…. de STARck . Je vous conseille de lire ce mémoire d’un Ensci, design sous inflence… de Frédéric Alzeari. Normalement vous deviez mieux nager. dans le Design… Si vous êtes palmé ( au sens figuré), Vous construisez sur le sable et un avenir vous attend sur le sable ( au sens figuré) . moi je m’en tappe, j’y suis au sens propre entre Gênes et Barcelone….http://www.apci.asso.fr/upload/observateur/b_obs12_1309-Crique-ENSCI-Frederic-.jpg
Je suis d’accord avec Prof Z sur le fait que le débat en engendre un autre : qu’entend-on par « design »? Design Industriel? Design d’espace? Design de services ? Design numérique? Design d’interaction (qui n’en est qu’à ses prémisses et donc en plein « boum »)? Ou encore – et je pense que le sujet ici vise plutôt celui-ci – le Design d’édition?
Bien que peu importe le domaine, de mon côté mon avis reste le même – je ne suis pas sûr que le design puisse être en « pause », je pense qu’il est en (perpétuel) changement.
Les schémas changent ; que ce soit la conception, le mode fabrication ou de distribution. Je ne suis pas sûr qu’on soit toujours dans ce principe d’oligopole de quelques marques (type : éditeurs italiens «historiques») qui se partagent la vision de «quel sera le design (à la mode) de demain?» et qui fabriquent et fournissent la terre entière.
Les mentalités s’ouvrent et les échanges n’ont plus aucune frontières, ceci grâce – et je ne vous apprendrai rien – à Internet. J’imagine (sans en connaitre la réponse je l’avoue) que le nombre de designer ne cesse d’augmenter mais le nombre d’initiatives créatives ou nouveaux éditeurs aussi. L’offre se démultiplie.
Les nouveaux modes de communication et réseaux sociaux participent à cet essor, les fameux «inspire moi si tu peux» et «best of du jour» toujours très qualitatifs de BED en témoignent. Par exemple, j’aime à lire des magazines comme IDEAT ou INTRAMUROS pour ne citer qu’eux, mais le plus souvent, je trouve beaucoup plus de projets intéressants dans un voyage de 5 minutes sur Behance…
Le revers de la médaille, c’est que les projets se dispersent tellement dans ce vaste monte qu’on passe parfois à côté sans même les voir….
Je vous rejoins aussi sur le fait que c’est justement dans ces périodes de crise où les plus «grands» sont retissants à investir, que naissent les plus belles initiatives.
Tout ceci n’est évidemment que mon avis…
Et Merci à Adrien et BED pour cet article. (étonnement peu commenté d’ailleurs..)
@ Martin Napoleoni Je ne suis pas Z mais prof Z car je suis capable de faire naître un CONcept dans tous les domaines même dans la tête d’un quidam, d’un CONsommateur afin qu’il se croit plus intelligent …. J’ai fait des études litteraires sans aimer les romans français du XIX ce qui révoltait mon amie prof de français . Je lui disais dis moi les genres litteraires qe tu aimes en dehors des romans…. Prof de lettres et incapables de lister de manière stucturé les genres littéraires. C’est comme un type qui ne connait pas toutes les lettres de l’alphabet ou celui qui est artiste et qui ne connait pas son vocabulaire artistique.J’apprends des mots, des notions, des concepts tous les jours comme quand j’étais prof au CELSA,, une grande école de Paris Neuilly qui dépend de la Sorbonne et qui « diplôme »en journalisme , communication d’entreprise, la gestion interculturelle, le marketing et la publicité , la gestion des ressources humaines, et multimédia A ce moment là, j’ai appris de mes étudiants qui savaient tout toute la palette de mots des sciences molles vraiment molles issus de l’intellectualisation à la française. Avant j’étais prof dans un IUT/ BTS et là j’ai appris qu’à la fin de la première année spécialisé, ils ne savaient rien ou presque. C’est sûr en ecosysteme et en epistemologie je ne suis pas au top …. J’aime beaucoup la cristallisation dynamique ….
@Z, ce n’était pas une attaque, mais un appel du pied! j’aime à échanger avec vous même si ça n’est pas toujours évident de suivre Ces échanges sont intéressants, instructifs, et plein d’enseignement. C’est bien pour cela que je suis ici à échanger avec vous!
Interessant .. Design Thinking vs Design Doing
http://www.lesechos.fr/opinions/chroniques/0203332103558-design-thinking-vs-design-doing-652727.php
TOUT CE QUE JE SAIS C’EST QUE JE NE SAIS RIEN (SOCRATE.)… SUR DES BASES SOLIDES …. En general pour me demander quelque chose on me dit toi tu sais tout, tu me me dire si… Le savoir n’est rien, ce qui compte c’est ce que l’on veut en faire… Si je suis hors ou dans une collectivité je peux avoir en face de moi un killer , quelqu’un qui voudra toute ma competence professionnelle pour me la voler, quelqu’un de jaloux qui voudra me piéger, quelqu’un qui voudra briller en me posant une question avec un collier de mots précieux, alambiqués, rares ou une logique complexe. J’ai connu tous ces cas et bien d’autres cas . La nature humaine est ainsi faite. Ceux qui veulent apprendre pour rien sont très minoritaires. Si je suis dans un blog je peux avoir un « partenaire de conflit ». Je ne cherche pas à briller mais à être éclairant pour le plus grand nombre et en particulier pour la génération Z. sans exclure toute les autres Je m’élève seulement en demandant à mes « élèves » qui veulent s’élever en se construisant ce qu’il savent de la spécialité que je dois leur enseigner…. Comme je suis socratique , je dialogue, je questionne l’air de rien …. et je leur démontre que l’élève, l’etudiant le formé (formation permanente) , l’employé, le cadre, le CEO, lemagasinier avait en lui ou à portée de main, car le monde à évolué depuis la Grèce antique, la reponse à leur question. Aujourd’hui tout le monde à la réponse à portée d’outil… Si je suis suis prof ou formateur en …., je demande Que voulez vous apprendre ? Et apres une reponse plus ou moins brillante avec des mots savants ou une égalité consternante entre deux mots je questionne C’est quoi pour vous le marketing? C’est quoi pour vous la communication? C’est quoi pour vous l’art? C’est quoi pour vous le design? C’est quoi pour vous un objet? Vous avez compris, vous voulez être designer. Designer de quoi ? DE SOCRATE A PLATON SUR DES BASES SOLIDES….Bon vous allez me détourner dans une typologie de votre choix, les solides de Platon…. et ensuite vous m’exposer le concept de votre chose, de votre artefact, de votre objet , de votre pièce, de votre oeuvre, de votre produit ( à vous de choisir) comme si j’étais non un Quidam mais un interlocuteur ciblé de votre choix. Alors là vous passez du design au marketing et à la com l’art de rien avec philosophie et geométrique…. Vous voulez que je vous cristallise tout cela avec un diagramme de Venn ?
Voila 3 marques de design qui ont laissé leur emprunte .. Arrêtons de prendre les diagrammes Venn de Tim Brown le CEO d »IDEO comme une bible du design …. Nous avons un Dieu du design, son nom est STARck et c’est un oracle itoo. L’autre Dieu américain est Jonathan Ives vice président design d’APPLE, il est anglais…. http://imgs.abduzeedo.com/files/paul0v2/bravo/16.jpg
LA FRANCE EST EN MODE PAUSE… LA CONSOMMATION EST EN MODE PAUSE… LES ENTREPRISES SONT EN MODE PAUSE. L’INVESTISSEMENT EST EN MODE PAUSE…. pour ne pas dire moins. Dans cette logique le DESIGNER INDUSTRIEL ne peut que passer du DESIGN PRODUIT AU DESIGN D’OBJET PUIS AU DESIGN DE PROJET PUIS AU DESIGN D’IMAGE …. Dans cette logique le DESIGNER INDUSTRIEL ne peut que devenir DESIGNER ARTISANAL et passer au mieux de la boutique à la galerie. HEUREUSEMENT comme dirait Florent Degourc il y a LE RETAIL . heureusement comme dirait Adrien Marolleau Il y a LA SCENOGRAPHIE… Hier je suis allé à une expo d’ ARTISAN D’ART, j’ai du mal à voir la difference avec un DESIGNER ARTISANAL. La difference existe en com, les artisans d’art ne sont pas ou tres peu dans la PRESSE DECO et dans les BLOGS DESIGN . Qui connaît leur nom?
@Adrien Marolleau.DESIGN SERAIT SUR LE MODE PAUSE…. en ce qui concerne la créativité, l’imagination, l’innovation ( ce ne sont pas des synomymes)…. et serait passé en mode COPIE COLLER…i j’ai bien compris le message… De quel design parle t-on ? Dans quel contexte? Le Design élargit chaque année ses champs d’intervention de l’objet tangible à l’objet qui l’est moins.Je travaille actuellement sur une question » FAUT IL SE FIER A SES INTUITIONS ? » @ Martin Napoleoni A propos de prof Z: »J’attends ici, toute son analyse, ses occurrences, son épistémologie, et son omniprésence supposé dans le monde du design pour nous éclairer. Plus sérieusement »…. Je fais souvent l’eloge de la liste mais d’une liste structuré… On dirait ici un inventaire à la Prévert Epistémologie? je ne suis qu’un philosophe amateur qui ne pédale( au sens propre et au sens figuré) que 20 minutes par jour dans la philo …. Je travaille actuellement sur une grande question » FAUT IL SE FIER A SES INTUITIONS ? »
En espérant également avoir l’avis de Designers passant par ici .. ne prenant pas cette article comme une attaque ou remise en question de leur travail (se qui est bien souvent trop facile lorsque l’on n’est pas designer, où que l’on ne connait pas toutes les contraintes..)
A votre bon coeur !
Vaste sujet, vaste débat. Le design est en ce moment tiède? j’en suis convaincu. la mode l’est à mon sens tout autant, du moins le PàP. C’est là un vaste, très vaste sujet, dont nous allons échanger, des messages durant, avec prof Z….
J’attends ici, toute son analyse, ses occurrences, son épistémologie, et son omniprésence supposé dans le monde du design pour nous éclairer. Plus sérieusement, même si comme le dit Adrien, une crise devrait être un fort terrain d’innovation, je constate aussi, que bien davantage qu’en période « normal » les designers ont besoin d’argent de trésorerie, bref, d’être édité….Et le marché, lui ne prend pas de risque ces temps ci semble-t-il. En arpentant la blogosphère et les allées de M&On on constate qu’il y a bien entendu de belles choses, mais plus rarement de belles surprises!Un designer doit il alors prendre des risques si les éditeurs (même solide et bien implanté) ne sont pas prêt à les prendre…? Tout reste ouvert..
Le but n’étant pas de tirer sur les Designers ou de souligner les inspirations, ou copies de l’un ver l’autre .. mais plutôt savoir pourquoi